Boris Johnson a choisi de suspendre le Parlement britannique le temps de mener à bien le Brexit à sa manière : dure. En Grande Bretagne, on crie au coup d'Etat, l'opposition s'oppose, les "remainers" petitionnent, mais "BoJo" a bien raison, estime Christophe Barbier, qui se souvient que le Premier ministre était encore il y a peu une Première ministre, Theresa May, qui s'est s'est heurtée à ses élus quand il s'est agi de faire voter son accord, durement négocié avec l'UE. Et si, en conclut-il, le problème dépassait le cadre du Brexit pour poser celui de notre démocratie?

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