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Dead or Alive, jeu de combat créé dans les années 90’s par le studio japonais Tecmo et Tomonobu Itagaki, au début dans le but de concurrencer directement les mastodontes du versus fighting du marché, Street Fighter, Virtua Fighter et Tekken.
Avec le boom de la technologie de la 3D en 2000 et l’arrivée de Dead or Alive 2 en occident sur PS2. Dead or Alive est devenu ultra populaire grâce à sa mécanique de gameplay ultra efficace et aussi la possibilité de jerter ses adversaires hors du ring pour continuer le combat sur un autre terrain.
Mais l’autre petit point de sa popularité et de sa spécificité, le jeu a pris la tournure du soft porn afin de se différencier de ses concurrents avec des combattantes armées de 90D et une taille 34, quitte à justement devenir une pointe dans le domaine en développant un moteur 3D spécifiquement pour le mouvement des seins selon les actions des combattantes.
Une feature qui va donner l’idée à un spin off Dead or Alive Xtreme Beach Volleyball qui mettra en avant les héroïnes du jeu en bikini dans des matchs de volley endiablé entrecoupé de mini-jeu avec des plans caméra assez évocateurs.
Et c’est à ce moment là, pendant la vague des années 2000 des adaptations de jeu vidéo au cinéma qu’un conglomérat de producteur se dit que ça serait quand même intéressant de développer cette licence au grand écran, mélanger le film de baston et les belles meufs, sur le papier, excellente idée. Le résultat ? Personne n’a aimé, ni vraiment vu le film, qui sera balancé aux oubliettes
A l’image de son créateur libidineux Tomonobu Itagaki qui sera rétrogradé dans la hiérarchie suite à des accusations d’agressions sexuelles, le jeu tombera au fur et à mesure dans l’oubli même si une tranche minime de joueurs essayent de tenir avec le dernier volet sorti en 2019
Le film quand à lui ne passera pas les années 2010 non plus, malgré une réédition Blu-Ray. Souvent considéré comme étant le pire film de tous les temps selon les gros nazes d’internet et notamment le vidéaste Karim Debbache qui l’a vendu à un public de trépané comme la pire des merdes. A tort ou à raison ? c’est ce qu’on va entendre dans ce podcast.
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Chroniqueur.e.es : Marvin MONTES, Wonder VESPER, Emmanuel.le PEUDON et présenté par Luc LE GONIDEC
Host : Luc LE GONIDEC
Musique Jean Baptise BLAIS
Montage et mixage son : Luc LE GONIDEC
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