Une campagne intitulée "HelloQuitX" incite à quitter le réseau social X pour ne plus cautionner ses dérives. Est-ce vraiment une bonne idée ?
Le 20 janvier, jour de l’investiture de Donald Trump, pourrait devenir une date symbolique pour des utilisateurs de X (anciennement Twitter) mécontents de l’évolution de la plateforme. À l’initiative de chercheurs du CNRS, la campagne "HelloQuitX" invite ceux qui le souhaitent à marquer leur désengagement en signe de protestation.
Cependant, quitter X n’est pas une décision facile. Malgré les controverses, le réseau reste un espace central pour suivre l’actualité et participer aux échanges politiques. Les alternatives proposées, comme Mastodon ou BlueSky, peinent à combler ce vide, leurs fonctionnalités et leurs audiences étant encore limitées.
Ce choix met en lumière un dilemme crucial : comment se détourner d’une plateforme jugée problématique tout en maintenant un accès aux conversations essentielles dans un environnement numérique où liberté d’expression et rapports de pouvoir évoluent sans cesse ? La réponse, pour beaucoup, réside dans une réflexion sur la manière de réinventer sa présence en ligne.
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