Révélée par Mémé dans les orties, son premier roman, en 2014, l’écrivaine Aurélie Valognes a depuis conquis des millions de lecteurs avec Né sous une bonne étoile, Au petit bonheur la chance ou encore Le tourbillon de la vie.
Son neuvième roman, L’Envol, vient de paraître aux éditions Fayard et est, de son propre aveu, le plus personnel de ses livres. L’autrice y aborde la question des transfuges de classe mais aussi de la relation mère-fille. Réalisé dans la bibliothèque de la romancière, à Dinard (Ille-et-Vilaine), l’entretien a aussi été pour elle l’occasion de citer les ouvrages qui ont accompagné ce parcours, ces personnages dans lesquels elle a reconnu des frères et des sœurs, voire des « âmes sœurs littéraires. »
Les livres, pour Aurélie Valognes, « c’est ma drogue numéro 1 », glisse-t-elle avant de partager, pour les auditeurs, un extrait de ce livre dont elle avoue : « Ce roman-ci, j’en suis fière… Je suis rincée de l’avoir écrit mais j’ai le sentiment qu’il n’y a que moi qui pouvais écrire cette histoire-là. Et j’avais besoin qu’elle existe….»
Podden och tillhörande omslagsbild på den här sidan tillhör Ouest-France. Innehållet i podden är skapat av Ouest-France och inte av, eller tillsammans med, Poddtoppen.